La volonté de Donald Trump de remettre en cause l’indépendance de la Banque centrale américaine pourrait déclencher une suspicion de la part des investisseurs américains et internationaux. Le dollar pourrait perdre son aura de valeur refuge. Sur ce point, Donald Trump défend l’idée d’une dépréciation du dollar pour rééquilibrer la balance commerciale. Le risque serait une augmentation de l’inflation et des taux d’intérêts, rendant plus difficile le financement de l’imposante dette publique. La fixation des taux directeurs de la part de la banque centrale américaine n’est pas sans incidence sur la dette publique. Si la FED réduit de 1,5 point ses taux d’ici la fin de l’année, l’État fédéral économisera 400 milliards de dollars d’intérêt (1 200 au lieu de 1 600 milliards de dollars), soit l’équivalent d’un point de PIB.
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« Le dollar est notre monnaie, mais c'est votre problème »
« Le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème » disait John Bowden Connally, Secrétaire du Trésor de Richard Nixon. La fin du dollar est une antienne contredite par les faits depuis des décennies. Ces dernières années, nombreux ont été les experts et les investisseurs à parier sur le déclin de la monnaie américaine. Pour justifier leur prédiction, ils mettent en avant les tensions politiques internes croissantes, la dette publique gargantuesque ou la tentation de plusieurs pays de dédollariser leur économie.
Chine, Europe, États-Unis : les limites du combat commercial
Depuis plusieurs années, la Chine a développé ses capacités de production, dans les secteurs de l’automobile, des batteries et de la sidérurgie. Ces capacités sont d’autant plus importantes que la demande intérieure est étale. Ces capacités importantes incitent les entreprises chinoises à exporter notamment en Europe et aux États-Unis. Cette conquête de parts de marché s’effectue au moment même où les pays de l’OCDE tentent de se réindustrialiser.
Rejet du CETA : un sabotage pour la France comme pour les Français du Canada.
Christopher Weissberg, député Renaissance des Français établis aux Etats-Unis et au Canada a rédigé une tribune dans laquelle il présente les bienfaits du CETA et accuse celles et ceux qui s’y opposent. Elle est co-signée par des élus représentant nos compatriotes résidant au pays à la feuille d’érable.